dimanche 31 mai 2020

Et pendant ce temps, la nature

Confinement, déconfinement, la nature y est assez indifférente
(ici du moins).
Gros succès pour les coquelicots ce dimanche 31 mai.


des bourdons terrestres


une abeille charpentière





un méconème tambourinaire

samedi 30 mai 2020

Et pendant ce temps, la nature

Confinement, déconfinement, la nature y est assez indifférente
(ici du moins).
Aujourd'hui, une grande sauterelle verte dans un mirabellier.


vendredi 29 mai 2020

Et pendant ce temps, la nature

Confinement, déconfinement, la nature y est assez indifférente
(ici du moins).
Aujourd'hui, un autre IVNI * dans une marguerite.
P.S.: le voilà identifié (par Gabrielle, précisément).
Il s'agit d'un clairon commun, un coléoptère peu fréquent,
qu'on rencontre souvent sur les ombellifères où il se nourrit de pollen
et probablement aussi de petits insectes.
Sa larve se développe dans le nid des abeilles sauvages, d'où ses autres noms de trichode des ruches et de clairon des abeilles. (Heiko Bellmann, "360 espèces d'insectes", Guides nature Ulmer)


* insecte volant non identifié, selon l'appellation de Gabrielle.

jeudi 28 mai 2020

Et pendant ce temps, la nature

Confinement, déconfinement, la nature y est assez indifférente
(ici du moins).
Aujourd'hui, un petit papillon nocturne qui attend son heure dans le rideau.


Et un épinard grimpant.


Et des roseaux sur la mare en un même mouvement.


Et enfin une libellule déprimée (mais pourquoi?).






L'humour décoiffeur

Les lecteurs assidus de ce blog connaissent l'admiration que j'ai pour la créativité des coiffeurs. Les noms de leur salon témoignent d'un humour décoiffant. J'en ai répertorié, avec l'aide de certains lecteurs, de très nombreux dans un billet publié fin 2017.
Un lecteur bruxellois m'en a envoyé un autre que j'ai ajouté en post-scriptum de ce billet "Admira-tif": https://michelguilbert.blogspot.com/2017/12/admiratif.html
Encore une enseigne qui ne manque pas d'air.

mercredi 27 mai 2020

Et pendant ce temps, la nature

Confinement, déconfinement, la nature y est assez indifférente
(ici du moins).
Aujourd'hui, cette fleur pas totalement identifiée (une camassia?)
apparue juste devant le jardin.


Et un clyte bélier, coléoptère qu'on présente comme craintif, 
qui aime le bois mort et les plantes en fleurs. Ou, ici, les dessous de chaise.



Paterson

Paterson conduit des bus dans Paterson, ville du New Jersey. C'est comme ça. Ça ne lui semble pas étrange à Paterson d'être né, de vivre et de travailler dans une ville qui porte le même nom que lui.
Paterson, avant de démarrer son bus le matin, entame un poème dans son cahier personnel. Il le poursuit, lors de sa pause sandwich, face à des chutes d'eau, seul coin bucolique de cette ville plutôt tristounette. Mais peu importe à quoi ressemble la ville. Ce qui l'intéresse, ce sont les gens. Il les écoute, lui si taiseux, capte des bribes de conversations dans son bus ou dans le bar où, chaque soir, il  s'arrête pour boire une bière, en promenant Marvin, son bouledogue au caractère renfrogné.
Sa femme Laura est aussi créatrice qu'il est poète. Ces deux-là s'aiment comme au premier jour et s'estiment infiniment l'un l'autre.
Laura est convaincue qu'il doit publier ses poèmes en vers libres qui racontent la vie dans sa plus grande simplicité. Elle le considère comme un grand poète, à l'égal de William Carlos Williams (1),  poète originaire de Paterson, dont il lit et relit le recueil Paterson  Et lui admire les rideaux, les tentures, les nappes, les meubles, les robes qu'elle confectionne ou repeint, toujours en noir et blanc. Même ses pancakes sont noirs et blancs.
Une nuit, elle rêve qu'elle met au monde des jumeaux. Alors, dans les jours qui suivent, Paterson croise partout des jumeaux.
Paterson, c'est aussi le titre de ce film de Jim Jarmusch, fait de poésie, de simplicité, d'amour, d'élégance qui s'ignore.
Il ne se passe rien d'autre dans ce film de près de deux heures que le quotidien de la vie. Pas de stress, pas de violence, pas de drame, si peu de choses qui bouleversent le rythme des jours. Si, un jour quand même, Paterson se réveille à 6h30 plutôt qu'à 6h10. Mais ce n'est pas grave. De toute façon, rien n'est grave tant qu'on croise des petites filles qui écrivent de la poésie, des amants éplorés qui font leur cinéma, des gens qu'on regarde avec bienveillance.

A voir sur www.arte.tv, jusqu'au 7 juin.
https://www.arte.tv/fr/videos/087394-000-A/paterson/

(1) https://fr.wikipedia.org/wiki/William_Carlos_Williams


mardi 26 mai 2020

Et pendant ce temps, la nature

Confinement, déconfinement, la nature y est assez indifférente
(ici du moins).
Aujourd'hui, la prairie de marguerites
dans les premiers rayons de soleil de la journée.


Et un petit escargot, perdu sur la table du jardin.


Pour le plaisir, ce coquelicot courtisé par une abeille.


 Et enfin ce coin de jardin en début de soirée.





lundi 25 mai 2020

Et pendant ce temps, la nature

Confinement, déconfinement, la nature y est assez indifférente
(ici du moins).
Aujourd'hui, un criquet des pâtures.


dimanche 24 mai 2020

Et pendant ce temps, la nature

Confinement, déconfinement, la nature y est assez indifférente
(ici du moins).
Aujourd'hui, gros succès pour la ciboulette qui attire trois papillons
qu'on appelle gazés.


Le poirier intéresse aussi le gazé.



samedi 23 mai 2020

Et pendant ce temps, la nature

Confinement, déconfinement, la nature ne voit pas la différence.
Retour au jardin aujourd'hui, avec des coquelourdes.


vendredi 22 mai 2020

Et pendant ce temps, la nature

Confinement, déconfinement, la nature ne voit pas la différence.
Aujourd'hui, loin du jardin (à une quarantaine de kilomètres),
le Saut de la Brame, en Haute-Vienne, à deux pas de la Vienne.









Et en prime, un couple d'agrions, au-dessus d'une mare, à deux pas de la Brame.



jeudi 21 mai 2020

Et pendant ce temps, la nature

Confinement, déconfinement, la nature ne voit pas la différence.
Aujourd'hui, une fleur de nigelle.


mercredi 20 mai 2020

Et pendant ce temps, la nature

Confinement, déconfinement, la nature ne voit pas la différence.
Aujourd'hui, dans le soleil couchant,
un beau jeune orme, un sentier dans le pré fleuri et un geai dans la vigne.





mardi 19 mai 2020

Et pendant ce temps, la nature

Confinement, déconfinement, la nature ne voit pas la différence.
Aujourd'hui, un insecte volant (hélas non identifié).


Et, en prime, parce qu'elle tenait à être sur la photo, cette vache à l'arrière du jardin.



lundi 18 mai 2020

Et pendant ce temps, la nature

Confinement, déconfinement, la nature ne voit pas la différence.
Aujourd'hui: au bord du soir, sous le chêne, haut et bas.



dimanche 17 mai 2020

Et pendant ce temps, la nature

Confinement, déconfinement, la nature ne voit pas la différence.
Aujourd'hui, des fleurs de pommes de terre.




samedi 16 mai 2020

Et pendant ce temps, la nature

Confinement, déconfinement, la nature ne voit pas la différence.
Aujourd'hui, un paysage du soir qui ne manque pas de charme (ni de chêne).


vendredi 15 mai 2020

Et pendant ce temps, la nature

Confinement, déconfinement, la nature ne voit pas la différence.
Aujourd'hui, un citron, photographié vers midi devant la porte.


jeudi 14 mai 2020

Et pendant ce temps, la nature

Confinement, déconfinement, la nature ne voit pas la différence.
Aujourd'hui, un véritable festival avec cette araignée,
ce criquet enjambant un gendarme, cette abeille
et cet insecte non identifié, tous photographiés à quelques minutes d'intervalle
cet après-midi sur quelques centimètres carrés.





mercredi 13 mai 2020

Et pendant ce temps, la nature

Confinement, déconfinement, la nature ne voit pas la différence.
Aujourd'hui, un insecte (non identifié)
photographié sur une herbe il y a quelques jours.


mardi 12 mai 2020

Et pendant ce temps, la nature

Confinement, déconfinement, la nature ne voit pas la différence.
Vue sur une petite partie de la prairie (naturellement) fleurie.


lundi 11 mai 2020

Et pendant ce temps, la nature

En ce premier jour de la première phase de déconfinement,
 j'ose m'éloigner de quinze mètres du jardin, 
avec ces iris en bord de mare,
sous la pluie.


dimanche 10 mai 2020

Et pendant ce temps, la nature


La nature n'est pas confinée. Elle va bien. Merci pour elle.
Chaque jour pendant le confinement, une photo de nature
prise le jour-même dans le jardin.
Ce dimanche, des cétoines grises, appelées aussi draps mortuaires.
On constatera que le drap mortuaire est plus vivant et actif que son nom ne le laisse croire.



Et quelques papillons photographiés en balade ce dimanche matin 
(hors du jardin, cette fois, mais à deux pas)


Rencontre au sommet